Tu as du mal à éviter les fringales au milieu de la matinée ou en fin de journée ? Tu te surprends à grignoter sans même avoir faim, juste « pour te faire plaisir »… avant que la culpabilité ne te rattrape ?
Avec les années, notre corps évolue, nos besoins changent… mais nos habitudes restent parfois bloquées sur d’anciens schémas. Et entre la fatigue, le stress, les hormones et ce fichu placard qui te fait de l’œil en permanence, garder le cap devient un vrai défi.
Je le sais, parce que je suis passée par là moi aussi : cette sensation de perdre le contrôle, de passer de phases de maîtrise totale… à des craquages incontrôlables. Jusqu’au jour où j’ai compris qu’il était possible de mettre fin à ces envies compulsives avec des solutions simples, douces et réalistes, qui respectent à la fois ton corps et ton plaisir de manger.
Dans cet article, je te partage mes 5 astuces concrètes, inspirées de mon propre parcours, pour t’aider à éviter les fringales sans frustration, ni privation, et surtout sans culpabiliser. EEt si tu as besoin d’un boost de motivation dès maintenant, tu peux commencer par la vidéo juste en dessous : je t’y explique tout avec énergie et bonne humeur.
Tu es prête à reprendre le pouvoir sur tes envies de grignotage, en douceur et avec bienveillance ?
C’est parti !
[Vidéo] Mes 5 astuces pour éviter les fringales et le grignotage …
Avant d’entrer dans le détail de mes astuces, je t’invite à regarder cette vidéo dans laquelle je te partage mes 5 clés pour éviter les fringales sans culpabiliser, et surtout sans renoncer au plaisir de manger.
Parfois, il suffit d’un petit déclic, d’une parole bienveillante ou d’une idée simple à appliquer… pour remettre les choses en mouvement.
Alors installe-toi confortablement, peut-être avec une tisane ou un petit encas sain, et prends ces quelques minutes pour toi.
Et une fois la vidéo terminée, reviens lire la suite : je t’y détaille chaque astuce, avec des conseils pratiques à mettre en place dès aujourd’hui.
Quelques minutes qui peuvent vraiment tout changer.
Pourquoi tu grignotes (même sans avoir faim) : les vraies causes des fringales après 45 ans
Tu te demandes peut-être pourquoi c’est devenu si difficile d’éviter les fringales, alors qu’avant, tu pouvais passer une journée sans penser à la nourriture toutes les deux heures ? Je me suis posée la même question. Et tu vas voir, ce n’est pas qu’une affaire de manque de volonté.
En réalité, plusieurs facteurs se mêlent, souvent sans qu’on s’en rende compte, et transforment de simples envies en véritables pièges à répétition. Surtout après 45/50 ans, quand le corps entre dans une nouvelle phase de sa vie.
Des hormones en pleine rébellion
Avec la périménopause, puis la ménopause, nos hormones vivent leur révolution intérieure. Et soyons honnêtes… ce n’est pas un long fleuve tranquille.
La baisse d’œstrogènes et de progestérone joue sur nos humeurs, notre énergie… et aussi notre appétit. Ces variations hormonales perturbent nos signaux naturels de faim et de satiété. Résultat : même après un repas, tu peux ressentir une envie de sucre, un besoin de « croquant », ou cette sensation diffuse de « il me manque quelque chose ».
Et non, ce n’est pas dans ta tête : c’est physiologique.
À cela s’ajoute un dérèglement des hormones de régulation de l’appétit : la leptine (qui signale la satiété) devient moins efficace, tandis que la ghréline (qui stimule la faim) prend un peu trop de place…
Résultat : tu manges mais tu n’es pas rassasiée. Ton estomac est plein, mais ton cerveau réclame encore.
Ce déséquilibre peut provoquer des envies soudaines de grignotage, même sans avoir de vraie faim.
Un métabolisme qui ralentit naturellement
À partir de la quarantaine, le métabolisme ralentit naturellement. Cela signifie que le corps dépense moins d’énergie, même pour assurer ses fonctions de base (digestion, respiration, maintien de la température, etc.).
Et si, en plus, notre masse musculaire diminue, le phénomène s’accentue. Or, ce sont justement les muscles qui consomment le plus de calories au quotidien. Sans activité physique régulière et adaptée, on brûle moins… tout en continuant à ressentir les mêmes envies.
Et devine quand ces envies frappent le plus fort ? Souvent en fin d’après-midi ou en soirée, quand la fatigue s’installe, que la glycémie chute, et que la journée a été longue.
Le fameux combo « j’ai faim + je suis crevée » = envie de pain, de chocolat, de fromage… mais rarement de crudités. Tu vois ce que je veux dire ?
C’est comme si ton moteur tournait au ralenti, mais te demandait du carburant en continu.
Le stress, la fatigue… et l’émotionnel
Et si ce n’était pas ton corps, mais ton cœur qui avait faim ? Je ne sais pas toi, mais chez moi, les fringales émotionnelles sont presque toujours liées à un trop-plein. Trop de choses à gérer, trop de pensées, pas assez de pauses, un petit coup de blues ou une contrariété… et hop, mon cerveau pense « manger » avant même que je m’en rende compte.
Le grignotage devient alors une réponse automatique à un inconfort intérieur. Ton cerveau, submergé, cherche une solution rapide pour te soulager. Et comme la nourriture est accessible, socialement tolérée, et souvent réconfortante… il la choisit par réflexe.
Sauf que ce soulagement est éphémère. Et bien souvent, il laisse place à de la culpabilité, à un inconfort digestif, ou à un sentiment d’échec. C’est ce qu’on appelle le cercle vicieux du grignotage émotionnel.
“Ton corps n’a pas besoin de discipline, il a besoin d’écoute.”
C’est une phrase que je me répète souvent quand l’envie de grignoter me prend… alors que je sais que je n’ai pas vraiment faim. Elle m’aide à faire une pause, respirer… et me reconnecter à ce que je ressens vraiment.
Mes 5 astuces anti-fringales (+ une astuce bonus)
Ces astuces, je les ai testées, adaptées et intégrées à mon quotidien, quand j’ai compris que mon corps n’avait plus les mêmes besoins… mais toujours autant d’envies.
Et tu sais quoi ? Elles ont changé ma manière de manger et de me sentir dans mon corps.
Voici mes 5 clés pour éviter les fringales, sans privation, sans frustration… et avec beaucoup plus de plaisir.
1ère astuce :
Intègre des protéines dans chaque repas
Tu entends souvent qu’il faut manger des protéines pour éviter les fringales… mais tu te demandes peut-être pourquoi c’est si important ?
Pourquoi ?
Parce que les protéines sont tes meilleures alliées contre les fringales.
Ce n’est pas seulement une question de régime ou de “manger plus de blanc de poulet” : c’est un vrai levier d’équilibre intérieur.
Elles ont un effet rassasiant puissant, permettent de stabiliser ta glycémie (éviter les pics et les chutes d’énergie), et aident à maintenir ta masse musculaire, qui diminue naturellement avec l’âge.
Et il ne s’agit pas que de muscles ou de ligne : Les protéines soutiennent aussi la production de neurotransmetteurs comme la dopamine et la sérotonine, qui influencent notre humeur, notre motivation, et… nos envies de sucre.
Comment faire concrètement ?
L’astuce que j’ai adoptée : je ne pense plus mes repas “en calories” ou “en glucides”, mais en construction équilibrée autour d’un pilier protéiné.
Voici quelques repères utiles pour t’aider :
🕗 Petit-déjeuner :
- Œufs (brouillés, coque, durs, mollets)
- Fromage blanc nature ou yaourt grec (avec graines de chia ou chanvre)
- Porridge protéiné : flocons d’avoine + lait végétal + poudre d’amande ou de protéine végétale
🕛 Déjeuner et dîner :
- Légumineuses (lentilles, pois chiches, haricots rouges…)
- Poissons gras (sardines, maquereaux, saumon), riches aussi en oméga-3
- Tofu, tempeh ou œufs bio
- Poulet, dinde, ou viande blanche maigre
- Quinoa, un “féculent” naturellement riche en protéines
💡 Astuce en plus : pense aussi à fractionner tes apports si tu as du mal avec les grosses portions. Une poignée d’amandes dans la matinée, un œuf dur à 16h, un yaourt le soir… et ton corps reste nourri en douceur toute la journée.
Exemple de menus équilibrés sur une journée
- Petit-déjeuner : Porridge d’avoine au lait d’amande, 1 c. à s. de graines de chanvre, fruits rouges surgelés, 1 œuf à la coque
- Déjeuner : Salade de lentilles vertes, carottes râpées, feta, olives noires, 1 tranche de pain complet
- Goûter : Fromage blanc + noix + cannelle
- Dîner : Tofu grillé aux épices douces, patate douce rôtie, courgettes vapeur + huile d’olive citronnée
Ce que j’aime dans cette approche ?
Je n’ai plus besoin de “résister” à mes envies… parce que je n’ai plus ces creux brutaux qui me poussaient à chercher du réconfort dans les placards.
Ton corps, quand il est nourri avec justesse, se calme naturellement. Et ton esprit aussi.
2ème astuce :
Élimine les tentations visuelles
Tu ouvres un placard, tu vois les biscuits, tu refermes. Puis tu le rouvres… puis tu craques. Je te rassure, ce n’est pas un manque de volonté : c’est ton cerveau qui fait exactement ce pour quoi il a été programmé.
Une explication simple
Le simple fait de voir un aliment sucré ou gras active des circuits neuronaux très anciens, liés à la récompense, au plaisir… et à la survie. C’est un réflexe primitif. Avant, croiser une ressource alimentaire était rare. Aujourd’hui, elle est à portée de main. Mais notre cerveau, lui, n’a pas changé de logiciel.
Une étude menée par le Dr Brian Wansink (Cornell University) (publiée en 2015, dans la revue Health Education & Behavior) a montré que les femmes qui laissent des céréales sucrées visibles sur leur plan de travail pèsent en moyenne 9 kilos de plus que celles qui les rangent hors de vue.
Autrement dit, le visuel déclenche l’envie… même sans faim. Et plus on voit, plus on mange.
C’est pour ça que j’ai totalement revu l’organisation de ma cuisine.
Ma routine « placards bienveillants »
- Je range tout ce qui est tentant hors de ma vue (en haut du placard ou dans des boîtes opaques)
- Je garde à portée de main ce qui me fait du bien : amandes, noix, compotes sans sucre ajouté, barres maison, chocolat noir 85 %, …
- J’ai aussi mis en valeur mes fruits frais dans une corbeille visible. Parce que oui, on mange aussi avec les yeux !
- Je ne stocke plus « au cas où ». Si c’est là, je finirai par le manger.
À chaque fois que tu ouvres ton placard et que tu trouves une option qui te fait du bien sans alimenter le cercle fringale-culpabilité, tu renforces ta confiance.
Et petit à petit, ce qui te paraissait difficile devient… une habitude douce.
3ème astuce :
Structure tes repas pour stabiliser ton énergie
Tu penses peut-être que sauter un repas de temps en temps permet d’“alléger” ta journée. Mais en réalité, quand tu sautes un repas, ton corps entre en mode alerte. Il perçoit ça comme un manque et se met à stocker dès qu’il reçoit à nouveau de la nourriture. Et surtout… il réclame. Fort. Souvent.
Résultat : plus de fringales, plus de stockage, et souvent plus de frustration.
Le yo-yo des repas sautés est classique pour beaucoup de femmes. Et franchement, il fait plus fait grossir qu’aider.
Pourquoi structurer ses repas ?
- Pour éviter les pics d’hypoglycémie qui déclenchent les envies
- Pour apprendre à ton corps qu’il recevra ce dont il a besoin
- Pour éviter les compulsions du soir ou de la nuit
Un exemple de journée équilibrée (3 repas + 1 collation)
- Petit-déj : yaourt grec + flocons d’avoine + banane + graines de lin
- Déjeuner : salade composée avec lentilles, œuf dur, crudités, avocat
- Goûter (vers 17h) : poignée de noix + compote sans sucre ajouté
- Dîner : omelette aux légumes + tranche de pain complet + infusion
💡 Même quand je suis occupée ou que je n’ai pas très faim, je mange un petit quelque chose pour donner un signal rassurant à mon corps : « tu vas recevoir ce dont tu as besoin ».
Ce que cette routine m’a apporté ?
Moins de fringales, plus de stabilité émotionnelle, moins de craquages … et surtout, la sensation d’être nourrie, pas juste remplie.
Quand ton corps sait qu’il ne va pas manquer, il arrête de te saboter. Et ça, ça change tout.
4ème astuce :
Bois avant de craquer
Tu le sais peut-être déjà, mais il faut parfois l’expérimenter pour vraiment y croire : beaucoup de fringales sont en réalité des signaux de soif.
Le cerveau a du mal à faire la différence entre la faim légère et la déshydratation. Tu crois avoir faim… alors que tu as juste besoin d’un bon verre d’eau.
Pourquoi on confond soif et faim (et comment notre cerveau brouille les pistes)
Notre cerveau ne fait pas toujours bien la différence entre une légère déshydratation et une petite faim. Ces deux signaux passent par des voies proches dans l’hypothalamus, ce qui peut facilement entraîner de la confusion. Tu penses avoir besoin de manger, alors que ton corps réclame juste… de l’eau.
Et ce phénomène est encore plus fréquent après 50 ans, car la sensation de soif s’atténue naturellement avec l’âge. On boit moins spontanément, même quand on en a besoin.
Ma méthode
- Je bois un grand verre d’eau (ou une tisane tiède si c’est le soir) dès que j’ai une envie de grignoter
- Je respire profondément pendant une minute
- J’attends 5 à 10 minutes pour voir si l’envie persiste
- Si la sensation passe, c’était de la soif. Si elle reste, je mange quelque chose de sain et de nourrissant.
Et dans 8 cas sur 10, l’envie disparaît toute seule. Mon corps voulait juste être réhydraté.
3 recettes d’eaux aromatisées naturelles
Boire de l’eau, ce n’est pas toujours motivant… surtout quand on a l’habitude de boissons sucrées ou que l’on s’ennuie du goût. Voici trois idées simples que j’adore :
- Eau citron + menthe fraîche + gingembre râpé
➜ Tonifiante et parfaite le matin - Eau plate + rondelles de concombre + feuilles de basilic
➜ Rafraîchissante, idéale l’après-midi - Tisane pomme-cannelle + 1 c. à c. de jus de citron
➜ Réconfortante pour calmer les envies du soir
💡 Astuce bonus : garde toujours une jolie carafe ou une bouteille à portée de vue. L’esthétique compte : quand c’est beau, tu penses plus souvent à boire.
En plus de réduire les fringales, boire de l’eau change tout pour ta santé : digestion, énergie, peau… Que demander de plus ?
Astuce n°5 :
Accueille tes émotions sans les manger
C’est peut-être la plus difficile… mais aussi la plus puissante.
On n’en parle pas assez… mais bien souvent, ce qu’on appelle “fringale” n’a rien à voir avec la faim. C’est une émotion qui cherche une porte de sortie. Et parfois, on se met à manger ses émotions sans même s’en rendre compte.
Le lien entre émotions et alimentation est fort : quand je suis stressée, frustrée, triste ou débordée, je n’ai pas faim. Je n’ai pas besoin de nutriments. J’ai juste besoin de réconfort, de douceur ou de relâchement.
Alors, notre cerveau cherche un apaisement et propose, fidèle à son habitude, la solution la plus rapide : manger. Et si tu te reconnais là-dedans, je veux te dire une chose importante : tu n’es pas faible. Tu es simplement humaine.
Mon rituel anti-fringale émotionnelle
Au lieu de lutter ou de culpabiliser, j’ai appris à créer un petit espace d’écoute intérieure. Ce n’est pas magique. Mais c’est puissant. Et surtout… c’est doux.
- Je m’arrête. Juste une minute. Pas besoin de méditer une heure.
- Je pose une main sur mon ventre et je respire profondément.
- Je me demande, sans me juger :
« Qu’est-ce que je ressens vraiment ? »
« De quoi j’ai besoin là, tout de suite ? » - Je choisis une réponse douce : écrire, sortir marcher, appeler une amie, faire une pause
Tu peux aussi t’asseoir, poser la main sur ton ventre, et simplement accueillir l’émotion sans y réagir. Au début, c’est inconfortable. Mais tu verras : c’est libérateur.
Quand on apprend à accueillir l’émotion plutôt qu’à la fuir, on découvre une nouvelle forme de puissance :
- Celle de s’écouter sans se juger
- Celle de nourrir autre chose que son estomac
Et c’est là que le cercle vicieux s’interrompt… et que la paix avec la nourriture commence vraiment.
Astuce bonus :
Anticipe avec des collations intelligentes pour éviter les fringales et le grignotage
Même en appliquant les meilleures astuces du monde, il y aura toujours des moments où une petite faim ou une envie surgira entre deux repas. Et ce n’est pas grave. Ce qui fait la différence, c’est ta façon d’y répondre.
Plutôt que d’improviser avec ce qui te tombe sous la main (et qui n’est pas toujours ton meilleur allié), je t’invite à prévoir des collations intelligentes. Des encas simples, nourrissants, faciles à emporter ou à préparer… qui respectent ton corps et ton plaisir de manger.
Comment choisir une bonne collation ?
- Elle doit rassasier sans alourdir
- Elle doit apporter des nutriments utiles (protéines, bons gras, fibres, vitamines, minéraux)
- Elle doit être facile à digérer pour ne pas couper la faim du repas suivant
- Et surtout… elle doit être agréable à manger (le plaisir reste essentiel !)
Tableau de collations équilibrées selon le moment de la journée
Voici quelques repères simples pour choisir la collation qui te fera du bien au bon moment, sans alourdir ta journée :
Moment | Objectif principal | Idées de collations adaptées |
---|---|---|
Milieu de matinée | Tenir jusqu’au déjeuner sans pic d’énergie | – 1 œuf dur + 1 fruit – 1 yaourt nature + 1 c. à s. de graines – Barre de céréales maison (avoine + amandes + dattes) – Mélange de fruits secs (sans sucre ajouté) – 1 poignée de noix + 1 clémentine |
Goûter (vers 17h) | Éviter le craquage avant le dîner | – 1 compote sans sucre (gourde) + 1 c. à c. de purée d’amande – 2 carrés de chocolat noir + tisane – Energy balls maison (flocons + purée d’oléagineux + datte) – Fromage blanc + cannelle + amandes |
Soirée (si dîner léger) | Éviter les fringales nocturnes | – 1 tranche de pain complet + avocat écrasé – Une soupe légère + 1 œuf poché – Tisane + quelques oléagineux (noix, graines, noisettes) |
💡 Tu peux même préparer à l’avance un petit kit de secours dans ton sac, ton bureau ou ta voiture : 1 sachet de fruits secs, 1 compote, 1 mini gourde de purée de noisette… Pour ne pas dépendre de la machine à biscuits…
🎯 Et les quantités ?
Ce qui compte, c’est la qualité + l’écoute de ta vraie faim.
Une portion de collation, c’est souvent :
- Une source de protéines ou de bons gras (oléagineux, œuf, yaourt…)
- une source de fibres ou de fruit frais
- en quantité modérée (l’idée est d’attendre sereinement le repas, pas de le remplacer)
Tu peux t’aider d’une règle simple : la collation doit te laisser une vraie faim 2 à 3h plus tard.
Mon petit rituel “pause-collation”
Quand je sens que l’envie monte, je ne me jette plus sur la première chose venue. J’ai créé un mini rituel de 5 minutes pour transformer cette pause en moment pour moi :
- Je me prépare ma collation avec attention (jolie tasse, bol en céramique, lumière douce)
- Je coupe mon téléphone ou je mets une musique calme
- Je savoure lentement, sans écran, sans culpabilité
- Je respire profondément 3 fois avant de repartir
Ce n’est plus une “urgence alimentaire”. C’est un petit moment de recentrage.
Prévoir une collation, ce n’est pas un échec, ce n’est pas se restreindre. C’est reprendre la main sur ton rythme, ton énergie, ta relation au plaisir, sans passer par la case “craquage + culpabilité”.
Et ça, c’est le début d’une vraie liberté alimentaire.
Et tu verras : plus tu anticipes, moins tu subis… et plus tu te sens libre.
Es-tu prête à appliquer ces astuces pour éviter les fringales… en douceur, sans te priver ?
Tu l’as vu dans cet article : éviter les fringales, ce n’est pas une question de force mentale ou de discipline extrême. C’est une question d’écoute, d’organisation bienveillante, et de petits ajustements intelligents dans ton quotidien.
Et surtout, ce n’est pas un combat. C’est un chemin.
Un chemin pour reprendre confiance en toi, en ton corps, et retrouver une relation plus paisible avec la nourriture.
Alors dis-moi, quelle astuce as-tu envie de mettre en place dès aujourd’hui ?
Ou peut-être que tu as toi aussi un petit rituel anti-grignotage à partager avec moi ?
Je t’invite à me laisser un commentaire juste en dessous : j’adore te lire, et nos échanges inspirent aussi d’autres femmes de la communauté Femmes en Harmonie.
Et tu sais quoi ? Tu n’as pas besoin d’appliquer tout ça parfaitement du jour au lendemain. L’important, c’est d’avancer à ton rythme. D’essayer. D’ajuster.
Même si tu trébuches parfois, chaque fois que tu choisis de t’écouter, de t’organiser autrement ou de prendre soin de toi avec douceur, tu avances vers plus de sérénité, plus de liberté, plus de joie.
Et je suis là pour t’accompagner sur ce chemin, avec douceur et sans pression.
Tu es sur la bonne voie.
Avec toute ma bienveillance et mon énergie positive,
Béa 🌷
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💖 Ce petit moment avec moi peut vraiment tout changer pour toi.
Merci Béa pour cet article éclairant et bienveillant ! Tes conseils simples et concrets offrent de vrais solutions pour comprendre et gérer les fringales sans culpabilité. C’est rassurant de savoir qu’il est possible de retrouver un équilibre alimentaire en douceur, en respectant son corps et ses émotions ☺️.
Merci beaucoup Nath pour ton retour si chaleureux et encourageant. Je suis ravie que tu aies ressenti l’approche bienveillante que je souhaite transmettre.
Oui, retrouver un équilibre sans culpabilité, c’est tout à fait possible surtout quand on commence à mieux écouter les signaux de son corps et à accueillir ses émotions avec douceur.
Merci d’avancer avec moi sur ce chemin d’harmonie.
oh oui prete à appliquer ces astuces. Surtout le verre d’eau vu que je me trouve déshydratée et que j’ai souvent faim 🙂 C’est tellement simple.
Je recommande aussi les protéines au pti dej!!!
Merci Aurélie pour ton enthousiasme communicatif ! Oui, parfois les solutions les plus simples sont les plus efficaces, et commencer par un bon verre d’eau peut vraiment faire toute la différence !
Et tu as tout à fait raison pour les protéines au petit déjeuner : elles calment durablement la faim et stabilisent la glycémie… un vrai atout anti-fringales !
Bravo pour ta motivation et ton élan. Continue à prendre soin de toi avec plaisir et légèreté et au plaisir d’échanger de nouveau ensemble.
Merci infiniment Béa pour cet article à la fois apaisant et incroyablement concret. Je suis en plein dans cette problématique du grignotage émotionnel et ton approche me parle profondément. Ma méthode préférée reste celle de boire un grand verre d’eau ou une tisane, puis de m’autoriser à ressentir ce qui se cache derrière cette envie sans passer à l’action. Ce petit moment de pause change tout ! Merci pour cette vision bienveillante et déculpabilisante qui redonne du pouvoir et de la douceur à nos choix ♥
Merci infiniment Sabine pour ton message, si sincère et touchant.
Tu mets le doigt sur quelque chose de très puissant : s’accorder une pause pour ressentir, sans juger ni fuir… C’est souvent là que tout commence à se transformer. Ce petit geste, comme boire une tisane ou un grand verre d’eau, devient une porte vers plus de conscience, de calme et de liberté intérieure. Je suis heureuse que cette approche t’aide à avancer avec plus de douceur et de clarté.
Merci pour ta belle énergie et bravo pour ce chemin que tu empruntes avec courage.
À très bientôt et au plaisir d’échanger de nouveau ensemble.
Merci Béatrice pour ce super article qui répond complètement à un besoin en ce qui me concerne !
J’adhère à l’astuce numéro 4 de boire avant de manger, je l’applique déjà. Je vais préparer les recettes d’eaux aromatisées que tu donnes, j’adore ! Je vais mettre en oeuvre l’astuce numéro 5 « Accueille tes émotions sans les manger » : analyser, s’écouter et choisir autre chose qu’une collation comme aller marcher et s’aérer par exemple ou se reposer…J’aime bien aussi ton rituel collation qui en fait un moment de recentrage, sans impulsivité. Enfin, pour l’explication sur le désordre hormonal, au moins, ça permet de comprendre et de conscientiser que tout ne fonctionne plus comme d’habitude après 45 ans….
Merci beaucoup Christelle pour ton retour si riche et enthousiaste. Je suis ravie de voir que tu as déjà adopté certains bons réflexes, et que tu es prête à explorer d’autres pistes comme accueillir tes émotions autrement : marcher, respirer, ralentir, … c’est souvent tout ce dont on a vraiment besoin à ce moment-là.
Et oui, comprendre le rôle des hormones est essentiel pour arrêter de se culpabiliser et reprendre le pouvoir sur son équilibre, en douceur.
Bravo pour ton engagement et ton écoute de toi. À très bientôt pour continuer ensemble sur ce beau chemin d’harmonie.
Merci pour cet article déculpabilisant 😇 qui permet également d’être plus à l’écoute de ce que veut dire notre corps.
J’apprend aussi que celui-ci confond faim et soif et que peut-être juste un verre d’eau peut le satisfaire !
Je note aussi que tu parles de compotes pour les collations : apportent-elles les mêmes valeurs nutritionnelles qu’un fruit frais ?
Petit à petit, je fais évoluer mes habitudes alimentaires en adéquation avec le nouveau rythme de mes cellules 😉
Merci Ketty pour ton message si doux et éclairé. Tu l’as bien compris : écouter les signaux de son corps est une clé essentielle, et parfois, un simple verre d’eau suffit à apaiser ce qu’on prenait pour de la faim.
Concernant ta question : une compote sans sucres ajoutés, et idéalement faite maison, peut être une bonne alternative ponctuelle au fruit frais. Elle conserve une partie des fibres (surtout si elle est non filtrée) et des vitamines, mais certaines sont un peu altérées à la cuisson. L’idéal reste de varier les deux selon les moments et les envies.
Bravo pour cette belle évolution vers plus d’harmonie avec ton corps et ses besoins. A bientôt.